Suwet humide en: Amistie Internationale explique le premier prisonnier canadien

Suwet humide en: Amistie Internationale explique le premier prisonnier canadien

Dans un développement significatif, Amnesty International a reconnu une personne au Canada comme un prisonnier politique. Cela s'est produit dans le cas d'Adam Gagnon, également connu sous le nom de Boss Dsta’hyl du clan Likhts’amisyu de la Nation Wet’Suwet’en, qui a été reconnu coupable d’outrage pour le tribunal.

Les circonstances de l'arrestation

DSTA’HYL a été condamné parce qu'il s'est opposé publiquement et délibérément à un ordre judiciaire qui lui a interdit d'approcher la construction des pipelines côtiers du lien de gaz. Cette décision du tribunal a été prise le 3 juillet 2024 à Smith, en Colombie-Britannique, et comprend une peine de prison de 60 jours avec une assignation à résidence. Selon le juge Michael Tammen, le comportement de Gagnon a provoqué des troubles considérables pour les travaux de construction.

L'importance de l'automne

Cette reconnaissance en tant que prisonnier de conscience est non seulement importante pour les personnes concernées, mais a également des implications de grande envergure pour les droits des peuples autochtones au Canada. Ana Piqueer, directrice régionale des Amériques d'Amnesty International, a déclaré que l'affaire Gagnon montre comment le Canada rejoint la liste des pays où les prisonniers politiques sont gardés derrière les barreaux ou les résistances à résidence. L’organisation appelle donc la libération immédiate et inconditionnelle de DSTA’HYL.

Le soutien de la communauté

Dans une interview, Adam Gagnon a exprimé que le prix en tant que prisonnier de conscience était pour les premières nations attendues depuis longtemps. Il a souligné que les eaux humides ont été supprimés depuis plus de 130 ans et forcés de réserver. Gagnon le voit comme son devoir de se battre pour la protection de son territoire traditionnel, alors qu'il reste sceptique quant aux intentions du gouvernement fédéral

Un problème complet

Amnesty International a récemment publié un rapport qui dénonce les violations en cours des droits de l'homme par la police canadienne et TC Energy, la société derrière le bâtiment du pipeline. L’organisation est également en contact avec trois autres membres Wet’Suwet’en qui attendent leur négociation pour des accusations similaires.

Perspectives futures pour le droit à l'autodétermination

Amnesty International et divers partisans appellent à repenser la politique aux peuples autochtones du Canada. Gabrielle Pauzé, directrice des opérations d'Amnesty International Canada Francophone, a contacté le Premier ministre Justin Trudeau directement pour exiger la libération immédiate de DSTA’HYL. La condamnation est considérée comme une violation de la Charte canadienne des droits et libertés ainsi que de l'explication générale des droits de l'homme.

Dans l'ensemble, cette affaire démontre l'attention internationale croissante des droits des peuples autochtones et la nécessité d'un traitement équitable conformément aux droits de l'homme. Il reste à voir comment cette affaire se développera, tandis que de plus en plus de personnes prennent conscience des préoccupations de la humide

- nag