Schweinfurt perd une institution locale avec l'hôpital St. Josef
Schweinfurt perd une institution locale avec l'hôpital St. Josef
L'hôpital St. Josef de Schweinfurt, un établissement avec près d'un siècle d'histoire, est sur le point de fermer. Cette décision soulève non seulement des questions sur l'avenir des soins de santé dans la région, mais affecte également de nombreux employés dont l'existence professionnelle est en jeu.
Effets durables sur la région
Avec l'hôpital prévu de St. Josef, près de 800 employés perdent leur emploi. Ce n'est pas seulement un problème économique; C'est également un défi majeur pour les soins de santé. Le membre de la CSU du Bundestag Anja Weisgerber et le membre de la CSU du Parlement de l'État Martina Gießübel expriment leur regret pour cette évolution. Ils soulignent que l'hôpital a joué un rôle important dans la région de Schweinfurt et qu'ils avaient espéré une solution positive jusqu'à la fin.
Contexte pour fermer l'hôpital
La décision de fermer a été jugée nécessaire par la congrégation des sœurs du rédempteur, que l'hôpital exécute depuis son ouverture en 1931. Le directeur général Martin Stapper a déclaré que le cadre financier ne justifie plus la continuation de la société au-delà du 31 décembre 2024. Cette décision avait été prise, indépendamment des discussions avec le quartier inférieur de la Franconia, qui avait déjà échoué.
Le district de Lower Franconia et la décision de prise de contrôle
Le district du Lower Franconia a rejeté l'occasion de prendre le contrôle de l'hôpital St. Josef le 23 juillet en raison de risques économiques élevés. Le président du district, Stefan Funk, a expliqué que l'hôpital était un établissement de soins de base et n'est donc pas une tâche obligatoire du district. Le district compte déjà trois de ses propres cliniques et ne s'est donc pas vu en mesure de reprendre l'hôpital St. Josef.
une perte pour la communauté
La fermeture de l'hôpital St. Josef symbolise non seulement la fin d'un service important pour la région de Schweinfurt, mais augmente également les craintes concernant les futurs soins de santé. La sœur générale de Monika Edinger exprime le regret de la congrégation sur cette évolution, mais souligne la nécessité de cette décision en raison de la situation économique.
Dans l'ensemble, cette situation a un impact clair sur la communauté locale, qui ne concerne pas seulement ses soins médicaux, mais aussi pour l'avenir de ses emplois. Les voix de la politique et de la société civile deviennent plus fortes pour trouver des solutions pour des soins de santé durables dans la région.
- nag
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