Israël librement défendu : la lutte contre le régime terroriste iranien

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Le chancelier Frei défend les attaques israéliennes contre l'Iran sur fond de menaces nucléaires et de débats sur le droit international.

Kanzleramtschef Frei verteidigt Israels Angriffe auf den Iran vor dem Hintergrund von Atomwaffenbedrohungen und völkerrechtlicher Debatte.
Le chancelier Frei défend les attaques israéliennes contre l'Iran sur fond de menaces nucléaires et de débats sur le droit international.

Israël librement défendu : la lutte contre le régime terroriste iranien

Les tensions entre Israël et l’Iran prennent actuellement une tournure dramatique. Le chancelier Thorsten Frei a défendu le soutien du gouvernement fédéral aux attaques israéliennes contre l'Iran. Selon lui, il est dans l'intérêt du monde entier que le régime des mollahs iraniens ne dispose pas d'armes nucléaires. Dans un discours prononcé en marge du sommet du G7, il a souligné que le programme de missiles iranien constituait également une menace pour l'Europe et a suggéré qu'Israël avait agi pour des raisons sérieuses.

Frei a déclaré qu'il était temps de mettre un terme aux ambitions dangereuses de l'Iran, d'autant plus que les attaques sont justifiées dans le but de garantir l'existence d'Israël. « L’objectif de l’Iran est la destruction d’Israël », a déclaré Frei, qui a également souligné la responsabilité de l’Allemagne dans le soutien à Israël dans la situation actuelle. Au cours des cinq premières semaines du nouveau gouvernement fédéral, des exportations d'armes d'une valeur de près de quatre millions d'euros ont été autorisées vers Israël. Cela place l’Allemagne bien en deçà des 28 millions d’euros approuvés au premier trimestre 2025 sous le gouvernement minoritaire rouge-vert.

Autodéfense ou violation du droit international ?

Israël décrit ses actions militaires comme des frappes préventives contre un risque imminent. Le 13 juin 2025, l’armée de l’air israélienne a bombardé des cibles stratégiques en Iran, tuant plusieurs hauts commandants militaires et scientifiques nucléaires. Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a parlé d’une « frappe préventive », tandis que le président Izchak Herzog a déclaré que les attaques avaient été menées pour neutraliser une « menace immédiate et existentielle ». L’Iran a immédiatement répondu par des tirs de roquettes sur des villes israéliennes, les justifiant comme un acte de légitime défense dans le contexte d’une éventuelle attaque contre ses installations nucléaires.

En droit international, l'interdiction du recours à la force s'applique conformément à la Charte des Nations Unies, qui interdit les attaques entre les États membres de l'ONU. Cependant, Israël invoque le droit de légitime défense en vertu de l'article 51 de la Charte des Nations Unies, qui s'applique en cas de menace d'attaque. Les critiques se plaignent du fait que la menace posée par le programme nucléaire iranien est trop abstraite pour qu'Israël puisse justifier une attaque. L'Iran possède actuellement de l'uranium enrichi à 60 pour cent, mais n'a pas encore atteint le niveau de 90 pour cent nécessaire pour fabriquer des armes nucléaires.

Le rôle de la communauté internationale

Le gouvernement fédéral allemand, en particulier la CDU, s’est clairement rangé du côté d’Israël. Norbert Röttgen, un éminent expert en politique étrangère de son parti, a souligné les dangers d’un éventuel programme nucléaire iranien pour la sécurité d’Israël et de l’ensemble de la région. Dans le même temps, des voix s’élèvent également pour pointer le problème des attaques au regard du droit international humanitaire. L’assassinat ciblé de scientifiques nucléaires iraniens en particulier constitue un casse-tête pour de nombreux juristes internationaux. Selon les règles du droit international humanitaire, les États attaquants doivent protéger les civils et les cibles de guerre légitimes ne sont que les combattants.

Les développements actuels montrent clairement à quel point la situation est tendue au Moyen-Orient. Israël poursuit ses attaques, même face aux critiques internationales. L’Iran, en revanche, ne se calme pas et a déjà menacé de contre-attaquer. Cela signifie que la situation dans la région reste extrêmement tendue.

La question de savoir ce qui constitue une action militaire nécessaire et justifiée et ce qui peut être considéré comme une attaque violant le droit international reste ouverte et influencera grandement les relations et la politique internationales dans les mois à venir.

Pour plus d'informations générales sur ce sujet complexe, vous pouvez lire les articles sur Vague de lèvres, nouvelles quotidiennes et ZDF lire.