Les conducteurs ivres sèment le chaos dans les rues de Cobourg !
Un cycliste de 40 ans à Cobourg avec un taux d'alcoolémie supérieur à 1,6 a été contrôlé. Une enquête pour conduite en état d'ébriété a été ouverte.

Les conducteurs ivres sèment le chaos dans les rues de Cobourg !
Dans la nuit du 19 juin 2025, plusieurs incidents se sont produits dans la région franconienne qui ont fait transpirer la police. Les cas d’usagers de la route ivres qui roulaient soit sur des Pedelecs, soit sur des scooters électriques ont été particulièrement explosifs. Il y a ici un besoin de clarification, non seulement en ce qui concerne la jurisprudence, mais aussi en ce qui concerne la sécurité routière.
Un incident particulièrement sensationnel s'est produit à Coburg. Vers 3 heures du matin, un homme de 40 ans d'Oberfüllbach a été contrôlé dans la Ketschendorfer Straße. La police a constaté qu'il se balançait fortement et a failli tomber de son Pedelec. Un alcootest effectué a montré un taux supérieur à 1,6 pour mille. La poursuite du voyage a été interrompue et le sang n'a pas tardé à être prélevé. On ne sait pas encore si cela aura des conséquences juridiques pour le cycliste, mais des enquêtes pour conduite en état d'ébriété ont été ouvertes, comme le rapporte [Wiesentbote].
Conduite en état d'ébriété sur un scooter électrique : un cas difficile
Un conducteur de scooter électrique de 43 ans à Steinbach am Wald a eu moins de chance. Il a été contrôlé à 14h45. et n'a pas été en mesure de présenter un permis de conduire. De plus, son scooter électrique a subi des modifications techniques qui lui ont permis d'atteindre une vitesse de pointe de près de 55 km/h. Ici aussi, des soupçons de consommation de drogue ont été exprimés. Un échantillon de sang a été prélevé pour clarifier ces allégations et le scooter électrique a été saisi. Selon les informations de [Wiesentbote], des enquêtes sur divers délits et infractions administratives sont en cours.
Si vous pensez que ce cas est unique, vous vous trompez lourdement. Le cadre juridique pour les conducteurs de scooters électriques fait actuellement l’objet de vifs débats. Selon [strafrechtsiegen.de], la valeur minimale pour une incapacité absolue de conduire est un taux d'alcoolémie (BAC) de 1,1 pour mille. Cela signifie que les conducteurs de scooters électriques avec un taux d'alcoolémie de 1,1 ‰ ne sont plus considérés comme aptes à conduire. Il s’agit d’une information cruciale pour quiconque envisage de vivre la nuit sur deux roues.
En outre, il convient de souligner que, selon la Cour fédérale de justice (BGH), toutes les réglementations applicables aux conducteurs ne s'appliquent pas automatiquement aux scooters électriques. Cela entraîne un certain degré d'incertitude, comme le montrent les approches juridiques du BGH, que l'on peut lire sur [anwalt.de]. Un exemple illustre ceci : un homme a été reconnu coupable de conduite avec un taux d'alcoolémie de 0,7 et 1,1 sur un scooter électrique, bien que la peine de prison et la suspension du permis qui s'ensuit ne s'appliquent que sous certaines conditions.
Que se passe-t-il en cas d'accident de la route ?
Surtout à une époque où les scooters électriques sont un moyen de transport populaire, il est pertinent de s'occuper des aspects juridiques et de l'incapacité de conduire. Alors qu'une restriction de 1,6 pour mille s'applique aux vélos, la classification des valeurs pour les scooters électriques n'est toujours pas claire. Cette incertitude inquiète de nombreux usagers de la région, sachant que de nombreux contrôles policiers ont déjà eu lieu. Un autre incident survenu à Kulmbach montre que les véhicules circulant sur le bord de la route peuvent également présenter de grands risques. Là, une femme de 54 ans a provoqué un accident avec un taux d'alcoolémie supérieur à deux mille, ce qui ancre fermement les dangers de l'alcool dans la circulation routière.
Dans l’ensemble, il semble que la question de la conduite en état d’ébriété, notamment en ce qui concerne les scooters électriques et les VAE, n’ait pas encore été légalement clarifiée. La police appelle les conducteurs, les cyclistes et les conducteurs de scooters électriques à prendre leurs responsabilités envers eux-mêmes et envers les autres. On pourrait dire qu'il reste encore beaucoup à faire, tant sur le plan juridique qu'en termes de sécurité routière en général.