Nouvelles élections en Syrie: Hope ou juste une farce?

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Le 5 octobre 2025, la première élection parlementaire aura lieu en Syrie après la fin de la règle d'Assad. Les critiques mettent en garde contre la fausse démocratie.

Am 5. Oktober 2025 findet in Syrien die erste Parlamentswahl nach dem Ende der Assad-Herrschaft statt. Kritiker warnen vor Schein-Demokratie.
Le 5 octobre 2025, la première élection parlementaire aura lieu en Syrie après la fin de la règle d'Assad. Les critiques mettent en garde contre la fausse démocratie.

Nouvelles élections en Syrie: Hope ou juste une farce?

Dimanche, il y a un événement historique à l'ordre du jour en Syrie: la première élection depuis la fin de la règle de Bachar al-Assad. Un nouveau parlement est choisi après près de 14 ans de guerre civile, et les attentes ne pourraient pas être plus différentes. Comment NP COBURG Rapports, cette élection est une étape importante vers la réorganisation politique du pays, dirigée par le président par intérim Ahmad al-Sharaa. C'était une fois au sommet du groupe islamiste Haiat Tahrir al-Scham (HTS), qui a contribué à la chute du régime.

Cependant, le choix n'est pas fait par une coordination directe de la population, mais via une procédure multi-étages. Sur environ 6 500 personnes électorales, 1 578 candidats ont été sélectionnés, dont 14% de femmes. Mais l'influence du nouveau parlement pourrait rester limitée, car un tiers des députés sont déterminés directement par le président al-Sharaa, ce qui soulève des inquiétudes concernant la représentation réelle au Parlement. Les critiques parlent d'un «choix de la sécurité» qui est plus utilisé pour garantir le pouvoir du nouveau leadership que pour contribuer à un véritable changement démocratique, comme ORF souligner.

Problèmes et conflits dans la course -Up aux élections

La préparation de l'élection était tout sauf lisse. La nomination a même dû être reportée deux fois, et dans plusieurs domaines, y compris la région lancée par les drruques de Suweida et certaines parties de Raqqa et Hasaka, le choix pour des raisons de sécurité n'a pas lieu. Ces régions sont affectées par les conflits confessionnels et ont connu une situation tendue entre les troupes gouvernementales et les combattants locaux. Fort Nd courant La population de ces domaines est préoccupée par leur avenir politique et la possibilité de s'entendre.

Un autre problème est que près de la moitié de la population syrienne a été vendue, ce qui complique également l'inscription des électeurs. En Syrie, environ 7 et 7,4 millions de personnes sont touchées par le vol, tandis qu'environ 6,2 millions vivent à l'étranger. Ces déplacements ont des effets massifs sur le paysage politique et social du pays. Le gouvernement de transition est donc confronté à de grands défis lorsqu'il s'agit de promouvoir le dialogue politique avec les minorités et de restaurer la confiance dans le nouvel ordre.

Une humeur ambiguë

Les opinions à choix sont divisées. Alors que certains citoyens espèrent une véritable démocratie, un grand nombre de personnes expriment le scepticisme et critique le système électoral. L'annulation des élections dans les zones kurdes et drustes laisse de nombreux citoyens, en particulier les minorités, non seulement, mais augmente également les tensions existantes et le désir d'autonomie dans ces régions. Un compromis sur la future architecture de l'État - qu'il soit centraliste ou fédéral - est toujours un sujet controversé.

Compte tenu de ces défis, la question demeure de savoir si cette loi électorale peut en fait être une étape importante pour la démocratie syrienne ou si elle doit être considérée comme une étape supplémentaire vers la légitimation d'une règle douteuse. L'objectif international vise fortement le représentant des minorités et la question des futures réformes du pays. Cependant, le choix s'éteint: la voie à la stabilité démocratique est encore longue et pleine d'incertitudes.