Alerte rouge à Kiel : la crise des poussières fines met la santé en danger !

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Kiel évalue la qualité de l'air à partir du 19 juillet 2025, met en évidence les niveaux de poussières fines et les recommandations sanitaires pour les citoyens.

Kiel bewertet die Luftqualität vom 19.07.2025, beleuchtet Feinstaubwerte und gesundheitliche Empfehlungen für die Bürger.
Kiel évalue la qualité de l'air à partir du 19 juillet 2025, met en évidence les niveaux de poussières fines et les recommandations sanitaires pour les citoyens.

Alerte rouge à Kiel : la crise des poussières fines met la santé en danger !

La qualité de l’air a un impact sur notre santé – cette phrase est plus que jamais d’actualité, surtout aujourd’hui. Le 18 juillet 2025, les niveaux actuels de qualité de l'air mesurés à Kiel sont préoccupants. Fort KN en ligne Une concentration de poussières fines (PM10) de 45 microgrammes par mètre cube d'air a été trouvée dans la Bahnhofstrasse. La limite autorisée est de 50 microgrammes, qui peut être dépassée 35 fois par an. Mais à quel point cette fine poussière est-elle vraiment dangereuse ?

Afin d’évaluer la qualité de l’air, trois valeurs sont principalement prises en compte : les poussières fines, le dioxyde d’azote et l’ozone. Les concentrations de poussières fines supérieures à 100 microgrammes sont considérées comme « très mauvaises », tandis que les valeurs de 51 à 100 microgrammes sont classées comme « mauvaises ». En ce qui concerne le dioxyde d’azote, les valeurs supérieures à 200 microgrammes sont classées comme « très mauvaises ». L'OMS a souligné que la pollution de l'air constitue le plus grand risque pour la santé en Allemagne, avec environ 240 000 décès prématurés causés chaque année par les particules.

Signes d'inquiétude

Quelles sont les recommandations si la qualité de l’air est « mauvaise » ou « très mauvaise » ? Les personnes sensibles doivent éviter les efforts physiques en extérieur, alors qu’avec une qualité d’air « modérée », seuls des effets à long terme sur la santé sont à craindre. Il est intéressant de noter que les feux d'artifice contribuent en grande partie à la pollution par les poussières fines : on estime que 1 500 tonnes de poussières fines sont rejetées la veille du Nouvel An, ce qui correspond également à 75 % des émissions annuelles des feux d'artifice. n-ag.de signalé.

Une chose est claire : en fonction des conditions météorologiques, telles que la température, la vitesse du vent et l'humidité, les niveaux de poussières fines peuvent changer rapidement. Cela se reflète également dans les mesures du 20 avril 2025, qui rapportent des valeurs similaires. La pression pour améliorer durablement la qualité de l’air s’accroît non seulement parmi les autorités, mais aussi parmi la population.

Projets européens et perspectives d’avenir

En réponse, la Commission européenne a proposé de nouvelles limites de qualité de l'air plus strictes, basées sur les lignes directrices de l'OMS. Ces nouvelles limites, qui devraient s'appliquer à partir de 2030, entraînent un écart par rapport aux valeurs précédemment applicables, vieilles de plus de deux décennies. Comme ça Agence fédérale de l'environnement L'objectif serait de lutter à long terme contre de nombreuses maladies chroniques causées par la pollution de l'air, notamment les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques.

Mais le défi demeure : la majorité de la population respire un air dont les concentrations de poussières fines sont supérieures aux directives de l’OMS. Les groupes vulnérables et économiquement défavorisés sont particulièrement menacés. Le chemin vers un environnement sans polluants d’ici 2050 est encore loin et des mesures supplémentaires sont nécessaires pour protéger au mieux la population.