Explosion des coûts dans les secteurs des crèches et des écoles : quelle est la prochaine étape en Basse-Saxe ?

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En 2026, Harburg sera confrontée à des déficits budgétaires et à une nouvelle législation sur la garde continue des enfants des écoles primaires.

Harburg sieht sich 2026 mit Haushaltsdefiziten und neuen Gesetzgebungen zur Ganztagsbetreuung von Grundschulkindern konfrontiert.
En 2026, Harburg sera confrontée à des déficits budgétaires et à une nouvelle législation sur la garde continue des enfants des écoles primaires.

Explosion des coûts dans les secteurs des crèches et des écoles : quelle est la prochaine étape en Basse-Saxe ?

Les communes de Rhénanie du Nord-Westphalie seront confrontées à d’énormes défis financiers dans les années à venir. L'administrateur du district de Harburg, Rainer Rempe, met en garde contre des déficits budgétaires dramatiques de 37 millions d'euros en 2026 et même de 47 millions d'euros en 2027. Une raison décisive réside dans les nouvelles exigences légales de l'État et du gouvernement fédéral, qui imposent aux communes des dépenses supplémentaires. L'introduction de crèches non contributives et la planification d'une garderie continue dans les écoles primaires sont particulièrement importantes.

La pression sur les caisses des communes est accrue par le droit légal obligatoire à une garderie à temps plein, qui entrera en vigueur pour la première année d'école à partir du 1er août 2026 et sera étendu aux classes de première à quatrième d'ici 2029. À l'échelle nationale, seule une partie des besoins est actuellement satisfaite, puisqu'environ 1,8 million d'enfants en âge d'aller à l'école primaire sont actuellement pris en charge toute la journée, ce qui correspond à seulement 56 pour cent de tous les enfants de cette tranche d'âge. Il y a donc encore place à amélioration pour augmenter le quota. Le ministère fédéral de la Famille a prévu un volume d'investissement de 3,5 milliards d'euros pour l'expansion de l'accueil de jour d'ici 2029 afin de soutenir les communes, même si des incertitudes subsistent sur les contributions financières spécifiques. Les informations de bmbfsfj.de montrent que ces fonds soutiendront non seulement l'agrandissement de nouveaux lieux, mais également l'exploitation.

Incertitudes et perspectives financières

La situation est particulièrement explosive dans le district de Harburg, où le « modèle d'autorité scolaire » pour la garde continue a été décidé en décembre 2024. Néanmoins, des rapports font état d'une éventuelle augmentation de six points de pourcentage de la taxe de district, ce qui pourrait entraîner une charge supplémentaire de 4,5 à cinq millions d'euros pour la ville de Buchholz. Le premier conseiller municipal Dirk Hirsch s'est dit préoccupé par le fait que cette augmentation n'aggraverait encore les problèmes financiers de la ville, tandis qu'à Winsen, avec une charge d'environ 3,6 millions d'euros dans le budget de résultat, les investissements doivent être annulés et le financement des clubs réexaminé, comme le souligne le maire André Wiese.

En outre, on ne sait toujours pas dans quelle mesure le gouvernement du Land sera en mesure de mettre en œuvre en temps utile de nouvelles réglementations pour la répartition des fonds. Bien que 142 millions d'euros de fonds supplémentaires soient réservés aux communes, les districts doivent se préparer à moins de soutien. Ces incertitudes rendent la planification municipale considérablement plus difficile. La péréquation financière de l'État est également incertaine en termes de sécurité de planification des districts.

En route vers une garderie à temps plein

Il y a encore une lueur d'espoir. Le programme d'investissement déjà approuvé soutiendra à long terme le développement des services d'accueil de jour. Le gouvernement fédéral envisage de prolonger le programme jusqu'à fin 2029. La ministre fédérale de la Famille, Karin Prien, souligne que les efforts déployés par les Länder et les communes pour élargir l'offre de formation et d'accueil à temps plein ont déjà montré des progrès prometteurs. Ces dernières années, de nombreux lieux ont été créés pour répondre à une demande croissante. Mais il reste encore beaucoup à faire.

Les défis ne doivent donc pas être sous-estimés, surtout compte tenu de l’introduction imminente du droit légal à une prise en charge à temps plein. Cela pourrait notamment avoir un impact sur la situation financière des communes. Reste à savoir si les fonds fédéraux promis allégeront réellement le fardeau des communautés.

Pour toutes les personnes impliquées, cela signifie : bien planifier, faire des efforts supplémentaires et se préparer au mieux aux changements à venir. L’effort investi pourra-t-il compenser les difficultés financières ? Les prochains mois montreront comment la situation va évoluer.

Pour des informations détaillées sur les changements juridiques et le cadre financier, vous pouvez lire les articles de kreiszeitung-wochenblatt.de, bmbfsfj.de et gouvernement fédéral.de visite.